Les réponses à vos questions sur l’AMI Greentech Innovation

Comment peut-on accéder au dossier de candidature ?

Le dossier de candidature est disponible sur la page dédiée à l’appel à manifestation d’intérêt du site Greentech Innovation et doit être transmis sur le site Démarches Simplifiées ainsi que toutes les pièces jointes requises.

Peut-on modifier son dossier après le dépôt de la candidature ?

Non, une fois le dossier déposé et la date de clôture dépassé, il n’est plus possible de le modifier. Pour un traitement égal des candidats, aucune information complémentaire transmise à posteriori ne sera prise en compte.

Le dossier peut cependant être modifié durant la période de dépôt des candidatures.

Comment la confidentialité des projets est-elle gérée ? 

Les dossiers de candidature ne sont consultés que par l’Ecolab, les directions généralesdu ministère et les membres du jury d’audition. Pour ceux ne faisant pas partie du ministère, nous faisons signer une clause de confidentialité.

Les entreprises des DROM-COM sont elles éligibles ?  

Oui, toutefois, pour déposer son dossier sur démarches simplifiées il est indispensable de disposer d’un numéro de SIRET, ainsi si vous êtes dans ce cas de figure, merci de bien vouloir nous contacter.

Sous quel format doit-on rendre le dossier ? Peut-on le rendre avec différent fichiers ?  Y a-t-il des limites de taille de fichier ?

Le dossier doit être rempli en un seul fichier, celui proposé sur Démarches Simplifiées et le site internet. Un pitch deck ou autres pièces similaires ne seront pas admis en tant que dossier seul. Ceux-ci peuvent accompagner le dossier mais ne font pas office de dossier.

Le dossier de candidature et les fichiers qui le constituent ne sont pas soumis à une limite concernant leur taille. En revanche, dans une démarche d’utilisation ergonomique de la plateforme de dépôt de dossier et a fortiori de numérique responsable, nous vous invitons à en restreindre leur taille (compresser les fichiers trop volumineux, réduire la qualité des images lorsque cela est possible etc.).

Quels sont les critères de sélection ? 

Les principaux critères recherchés pour faire partie du programme Greentech Innovation sont les suivants : être une PME ou start-up proposant un projet innovant, à impact et en adéquation avec les politiques publiques en matière de transition écologique. Pour le détail lié à l’éligibilité et à l’évaluation des projets, nous vous invitons à vous référer au règlement et au dossier de candidature.

Comment s’assurer que mon projet est en adéquation avec les politiques publiques de transition écologique ? Cette liste est-elle disponible ? Comment accéder aux différentes politiques publiques ? Avec des liens officiels ? En fonction des thématiques ?

Votre projet doit s’inscrire dans une des thématiques suivantes :

  • alimentation et agriculture durables
  • bâtiment et ville durables
  • décarbonation de l’industrie
  • eau, biodiversité et biomimétisme
  • économie circulaire
  • énergies renouvelables et décarbonées
  • innovation maritimes et écosystèmes marins
  • mobilité durable
  • prévention des risques
  • santé environnement
  • numérique éco-responsable
  • finance durable

En sus, une attention particulière sera portée cette année aux enjeux suivants propres aux ministères et directions générales concernées :

  • jumeaux numériques,
  • l’intelligence artificielle,
  • les données satellitaires,
  • l’hydrogène,
  • la réduction de l’usage des plastiques à usage unique, et en particulier des emballages en plastiques à usage unique (réemploi, réduction, substitution),
  • le réemploi de matériaux et de façon plus générale toutes les solutions permettant d’allonger la durée de vie des produits mis sur le marché,
  • le tri à la source ainsi que la valorisation des biodéchets,
  • le tri et la production de nouvelles matières premières à partir de déchets et en particulier de déchets qui ne sont pas recyclés aujourd’hui, ou qui le sont en faible quantité, ou pour des applications à plus haute valeur ajoutée,
  • la décarbonation des bâtiments,
  • la sobriété, c’est à dire réduire à la source les besoins en énergie ainsi que les besoins en matières et les impacts (carbone, biodiversité…),
  • les méthodes et services : changement de pratiques, maitrise de la consommation, sensibilisation/mobilisation, organisationnelle, outil d’aide
    à la décision,
  • la préservation et reconquête de la fonctionnalité des milieux, dont les sols, développement des solutions fondées sur la nature, innovation dans les pratiques d’aménagement,
  • la mise en oeuvre de la séquence « éviter – réduire – compenser », notamment appliquée à la biodiversité ordinaire,
  • les techniques d’évitement des impacts (collisions oiseaux/éoliennes, prévention du bruit des chantiers éolien en mer etc..) – mesure 5.3 SNB,
  • la récupération des micro et macro-plastiques,
  • l’économie et gestion intégrée des eaux dont la réutilisation des eaux non conventionnelles,
  • la data diffusion/valorisation des données,
  • la métrologie environnementale d’observation, surveillance et évaluation des milieux,
  • le machinisme pour intervenir sur des milieux naturels sensibles,
  • les sciences participatives,
  • la comptabilité écologique, la biodiversité (faciliter la collecte de données, l’alignement, et la mesure d’empreinte des portefeuilles, la gestion des risques),
  • la digitalisation des informations extra-financières,
  • la conformité avec les textes réglementaires actuels (Taxonomie et SPDR),
  • la sensibilisation et familiarisation de la finance durable et responsable,
  • l’accès aux données liées aux chaînes de valeur des entreprises,
  • la restauration des écosystèmes,
  • la sobriété numérique et écoconception,
  • la bio-prospection océanique,
  • la prévention, sur la sobriété en produits chimiques,
  • la réduction de l’exposition aux produits dangereux pour la santé humaine et celle de l’environnement,
  • l’hydrogène et notamment les projets de l’industrie (décarbonation des process industriels), et les nouveaux usages sur la mobilité lourde, les infrastructures de recharges pour les véhicules éléctriques,
  • le développement véhicule éléctriques,
  • le développement d’équipements agricoles intelligents et connectés et sobres voire autonomes en énergie,
  • les solutions technologiques pour la transition agroécologique, la performance sanitaire et le bien-être animal,
  • la réduction et de préférence l’alternative aux intrants, engrais de synthèse et énergies fossiles, la réduction des usages de l’eau, la préservation de la biodiversité, la protection face aux aléas climatiques et sanitaires, et aux organismes nuisibles aux végétaux ou aux animaux, la préservation et la valorisation des sols, etc.,
  • la mise au point de solutions ou méthodes innovantes fondées sur la nature et les mécanismes naturels, de produits d’origine naturelle ou biosourcés pour réduire le recours aux intrants fossiles ou de synthèse,
    • la valorisation de la diversité des ressources génétiques à travers une sélection génétique et variétale améliorée et la sélection de populations hétérogènes en visant des combinaisons optimisées qui apportent multiperformance et résilience vis-à-vis des bio-agresseurs et en contribuant à la diversification des cultures et des productions, avec des effets positifs sur la biodiversité,
    • la production de produits innovants participant à la santé et au bien-être animal,
    • le développement d’aliments plus sains, plus durables et répondant aux attentes des consommateurs, en termes de modes de consommation, de
      qualité nutritionnelle, de goût et de naturalité. Il s’agit en particulier d’adresser le marché des aliments issus de nouvelles sources de protéines,
      pour la conservation desquels les techniques de fermentation ont un rôle crucial à jouer,
    • la mise au point de processus innovants mobilisant les nouvelles technologies au service de la traçabilité, de la qualité et de la sécurité sanitaire de l’alimentation, adaptés aux chaînes de production de l’industrie agroalimentaire, aux circuits logistiques et à la demande de flexibilité et de personnalisation de l’alimentation et limitant les impacts sur l’environnement, pour réussir la transition numérique et gagner en compétitivité et réduire la dépendance aux importations,
    • les problématiques d’alimentarité des emballages et de contenants alimentaires de cuisson, de réchauffe et de service dans les services de restauration collective, dans un contexte de forte évolution des exigences réglementaires et d’attentes croissantes de la part des consommateurs, le développement d’emballages intelligents et à faible impact environnemental en agroalimentaire,
    • les nouveaux outils destinés à guider les différents acteurs de la chaîne alimentaire vers des comportements plus vertueux et à améliorer la traçabilité et la transparence de l’information du consommateur, s’appuyant sur des systèmes d’information nutritionnelle avancée et sur de nouvelles méthodes d’évaluation de la durabilité des produits.

Cette liste n’est pas exclusive et les projets entrant dans un des champs thématiques sans être rattachés à l’une de ces priorités sont éligibles.

Il est par ailleurs possible de trouver des compléments d’informations en ligne sur le site de chaque ministère concerné ainsi que sur d’autres plateformes gouvernementales (France Relance, France 2030, etc) et vérifier ainsi si votre projet est en accord avec les politiques publiques en matière de transition écologique.

Peut-on obtenir de l’aide pour identifier la thématique, avant le dépôt du dossier ou l’Ecolab réaffecte-t-il les projets dans les bonnes thématiques ? Peut-on choisir plusieurs thématiques lors de notre candidature ? Que se passe-t-il en cas d’erreur de sélection ? 

Il est attendu de la part des candidats de choisir une seule et unique thématique à laquelle rattacher leur projet, même si celui-ci peut sembler recouper/couvrir plusieurs thématiques. Du choix de la thématique dépend le jury qui sera en charge d’examiner le dossier de candidature. Aussi, nous demandons aux candidats d’y porter une attention toute particulière néanmoins, nous pourrons réaffecter votre projet, passé la première étape de sélection, si nécessaire.

Quels sont les attentes sur la description du potentiel environnemental ? Faut-il des chiffres à l’appui pour candidater ?

Dans le dossier de candidature, il est fourni un tableau afin de guider l’entreprise candidate dans la justification claire et rigoureuse de son impact environnemental. L’apport de chiffres sourcés ou démontrés permet évidemment de crédibiliser cette justification et seront valorisés lors de l’examen des dossiers. Si le projet est sélectionné pour se présenter en audition, les experts pourront interroger le candidat sur la justification avancée dans son dossier de candidature.

Est-ce que la forme juridique est un critère? Une société civile est-elle éligible ? Une association peut-elle candidater ? 

Oui, l’AMI se destinant uniquement aux entreprises, le statut juridique de la structure concernée est un critère. Seules sont éligibles, celles qui sont inscrites à un registre du commerce. Notamment celles qui se réclament des statuts suivant définis par le Ministère de l’Economie et des Finance :

  • Entreprise individuelle (EI) ou entreprise individuelle à responsabilité limitée (EIRL)
  • Entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée (EURL)
  • Société à responsabilité limitée (SARL)
  • Société anonyme (SA)
  • Société par actions simplifiée (SAS) ou société par actions simplifiée unipersonnelle (SASU)
  • Société en nom collectif (SNC)
  • Société coopérative de production (Scop)
  • Société en commandite par actions (SCA) et société en commandite simple (SCS)

Les sociétés civiles ou les associations ne sont pas des structures adaptées à des activités économiques impliquant des prises de risques : en cas de défaut de paiement, les membres de l’association doivent rembourser sur leur fonds personnels les dettes contractées. Il n’y a pas de tribunal de commerce pour gérer les défauts de paiement et limiter le risque pour les personnes qui s’investissent dans le projet.

Quels sont les prérequis en terme d’actionnariat ? Peut-on être une PME détenue par une PME ? Une filiale autonome intégrée à un groupe de plus de 250 personnes, est-elle éligible ?

La définition européenne de PME est celle retenue, il s’agit d’une entreprise de moins de 250 salariés et dont le chiffre d’affaires n’excède pas les 50 millions d’euros. Sont considérées comme indépendantes les entreprises qui ne sont pas détenues à hauteur de 25 % ou plus du capital, ou des droits de vote, par une entreprise, ou conjointement par plusieurs entreprises ne correspondant pas à la définition de la PME ou de la petite entreprise, selon le cas.

Un groupe de PME peut-il répondre ?

Seule une PME au sens européen du terme peut répondre, elle doit répondre seule.

Faut-il être Made in France ?

Les entreprises candidates doivent être domiciliées en France, néanmoins, l’ensemble de la production n’a pas à être réalisée en France car beaucoup d’activités ne peuvent pas l’être dans leur globalité. Toutefois, la localisation de tout ou partie de la production sur le territoire national est valorisée lors de l’examen des dossiers.

Ai-je une chance d’être sélectionné si je propose une solution proche d’une start-up déjà présente dans la Greentech Innovation ?

Nous souhaitons garantir un éventail varié de solutions Greentech et donc favorisons la variété aux doublons. Pour autant, nous regroupons également les  start-Up et PME en thématiques. Au sein de celles-ci, certaines entreprises peuvent être complémentaires ou assez similaires. Il n’est donc pas rédhibitoire de proposer une solution assez proche d’une solution déjà présente dans l’écosystème ; l’enjeu pour vous sera de démontrer le caractère innovant du projet proposé et d’argumenter sur ce que vous pouvez apporter de plus.

Un projet ayant déjà été présenté au cours d’un précédent appel à manifestation d’intérêt mais qui avait été refusé peut-il se représenter ?

Tout projet ayant été refusé lors d’un précédent appel à manifestation d’intérêt pour une quelconque raison et notamment de maturité de celui-ci peut tout à fait candidater à nouveau. Toutefois, le candidat devra justifier d’une progression par rapport à sa précédente candidature.

Peut-on trouver des exemples de projets qui peuvent être retenus ?

Les projets des lauréats sont disponibles sur la page dédiée de notre site internet.

Cependant, les projets sont fondamentalement différents les uns des autres et ne préjugent en rien de l’admissibilité de votre dossier.

La candidature doit-elle porter sur un projet existant ou sur quelque chose qui peut être prochainement lancé ? Quel est le degré de maturité attendu ?

Le projet présenté doit être existant. Les projets en phase d’idéation ne peuvent pas être sélectionnés. Nous demandons à ce qu’un produit minimum viable, livré et fonctionnel, soit présenté.

Une structure venant d’être créée peut-elle candidater ? Y-a-t-il un critère de chiffre d’affaires requis ? 

Une structure venant d’être créée peut candidater si elle dispose d’un SIRET (hors cas des DROM-COM) et d’un produit minimum viable.

Le chiffre d’affaire ne doit pas excéder les 50 millions d’euros pour répondre à la définition de PME mais nous n’avons pas d’attente sur un chiffre d’affaires minimum.

Qu’entend-t-on par MVP ? Est-ce qu’un démonstrateur de TRL 5/6 convient ? Le MVP peut-il être une maquette ? 

Un MVP (Minimum Viable Product ou Produit Minimum Viable) est une version minimaliste mais fonctionnelle d’un produit ou d’un service. Ce prototype du produit (ou service) doit répondre au moins partiellement à la mission initiale du projet et à l’objectif théorique du produit fini. Il doit démontrer une stabilité technique, annoncer une prochaine version complétant ses failles et ajoutant de nouvelles fonctionnalités. Il doit être capable d’être testé en situation réelle par des tests techniques et utilisateur.

Pour raisonner en référentiel TRL (Technology Readiness Level), cela correspondrait à un TRL 6 mais la Greentech Innovation n’applique pas de critère TRL strict. Les frontières de développement pouvant être poreuses et les contraintes étant différentes en fonction des secteurs, nous effectuerons une analyse au cas par cas pour définir si le projet est suffisamment mature pour que l’offre de service soit suffisamment pertinente pour celui-ci. Sinon, nous invitons les projets prometteurs mais pas encore assez développés à se rapprocher des incubateurs partenaires de la Greentech Innovation et/ou à candidater à nouveau lors de l’AMI suivant.

Nous attendons des entreprises candidates qu’elles justifient de leur MVP en joignant à leur dossier de candidature tous les éléments utiles (liens avec des vidéos, présentations, preuves de concept, résultats de la présentation des solutions innovantes aux publics visés) prouvant son état d’avancement. Pour le cas d’une plateforme, une maquette même haute-fidélité ne suffit pas à correspondre au prérequis du MVP, il faudra une version de base codée ayant bénéficié d’une première mise en production. Des résultats des premières présentations à certains publics “béta testeurs” sont appréciés.

Doit-on obligatoirement être au stade de MVP ou les produits peuvent-ils être déjà commercialisés ?

Le MVP est le niveau minimum requis pour être éligible, les produits peuvent tout à fait être commercialisés.

Combien de lauréats sont reçus chaque année ?

Pour la promotion de l’AMI 2023 (promotion n°9), 20-25 lauréats seront retenus.

Quand se tiendront les auditions ?

Les auditions devraient avoir lieu du 12/12/2022 au 20/01/2023.

Combien d’entreprises passent-elles en audition ?

On compte environ 8 entreprises par thématique, ce chiffre varie en fonction du nombre de candidats de celle-ci.

Combien de lauréats sont reçus chaque année ?

Pour la promotion de l’AMI 2023 (promotion n°9), 20-25 lauréats seront retenus.

Quand se tiendront les auditions ?

Les auditions devraient avoir lieu du 12/12/2022 au 20/01/2023.

Si le dossier est refusé, un motif est-il donné ?

Nous ne fournissons un motif de refus que pour les entreprises ayant été reçues en audition mais qui n’ont pas été retenues.

Combien de candidatures et de lauréats sont reçus chaque année ?

En 2022, nous avons retenu 45 lauréats sur 272 candidatures. Pour pouvoir réaliser un accompagnement de qualité des start-up retenues nous limitons leur nombre de lauréats entre 20 et 25 pour la nouvelle promotion de l’AMI 2023 (promotion n°9).

Quelle est l’offre d’accompagnement proposée aux start-up lauréates ?

Elle est présentée sur la page correspondant à l’offre d’accompagnement sur notre site internet.

A quelle fréquence se tient l’Appel à Manifestation d’Intérêt Greentech Innovation ?

L’appel à manifestation d’intérêt se tient une fois par an, il ouvre généralement en fin d’année et se clôture en début de l’année suivante.

Les autres AAP, AMI (Green20, Solar Impulse…)

Lancé en 2021, le programme Green20, fruit du partenariat entre La French Tech et la Greentech Innovation, vise à faire émerger les nouveaux champions technologiques de la transition écologique. 20 start-up ont été promues en raison de l’impact environnemental de leurs solutions et de leur capacité à des déployer à grande échelle. Ce programme vise également à sélectionner des entreprises dont la maturité est déjà relativement établie (chiffre d’affaires minimum et/ou levée de fonds d’un certain montant déjà réalisés). Les start-up Green20 bénéficient de l’ensemble de l’offre d’accompagnement Greentech Innovation ainsi que d’un booster Green20 supplémentaire. La sélection d’une troisième promotion de lauréats est prévue courant 2023.

Être lauréat Greentech Innovation est complémentaire des labels, concours et autres distinctions que vous pouvez recevoir. De façon similaire, notre offre d’accompagnement est complémentaire de celle que vous pouvez recevoir d’autres acteurs publics comme privés tels les incubateurs. L’appartenance à un incubateur, les distinctions et labels retenus sont pris en compte dans l’évaluation des dossiers.

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