Les réponses à vos questions sur l’AMI Greentech Innovation

Comment peut-on accéder au dossier de candidature ?

Le lien pour candidater sur la plateforme demarche.numerique.gouv.fr est disponible sur la page dédiée à l’appel à manifestation d’intérêt du site Greentech Innovation de l’Ecolab.

Il y a trois liens différents en raison de particularités réglementaires :

  1. Un lien vers la candidature pour les startup et PME domiciliées en France
  2. Un lien particulier vers la candidature pour les startup et PME domiciliées en Nouvelle-Calédonie et en Polynésie française
  3. Un lien vers la candidature pour les startup et PME domiciliées dans l’Union européenne (hors France) avec choix langue anglaise / langue française

Peut-on modifier son dossier après le dépôt de la candidature ?

Le dossier de candidature peut être modifié durant toute la période des candidatures. 

Une fois le dossier déposé et la date de clôture dépassée, il n’est plus possible de le modifier. Les entreprises candidates sont invitées à garder la copie du texte de leur candidature en vue de leur éventuelle audition.

Pour un traitement égal des candidats, aucune information complémentaire transmise a posteriori n’est prise en compte.

Comment la confidentialité des projets est-elle gérée ? 

Les dossiers de candidature ne sont consultés que par l’Ecolab, les directions générales du ministère et les membres du jury d’audition. Tous sont soumis à une obligation de confidentialité et les membres de jurys ne faisant pas partie du ministère signent une déclaration.

Les entreprises des DROM-COM sont elles éligibles ?  

Oui, pleinement.

Simplement, en raison de particularités réglementaires relatives à l’immatriculation, les entreprises situées en Nouvelle Calédonie et en Polynésie française doivent déposer leur candidature sur un formulaire particulier sur la plateforme demarche.numerique.gouv.fr.

Sous quel format doit-on rendre le dossier ? Peut-on le rendre avec différent fichiers ?  Y a-t-il des limites de taille de fichier ?

  • Les champs de questions intégralement renseignés du formulaire de candidature sur la plateforme demarche.numerique.gouv.fr
  • 2 pièces jointes obligatoires :
    • Le dernier bilan et le dernier compte de résultats certifiés (sauf création trop récente)
    • Le fichier image du logo de l’entreprise (ce logo pourra être utilisé par l’Ecolab à des fins de communication relative à l’AMI si la solution est déclarée lauréate)
  • 3 jeux de pièces jointes complémentaires pouvant être déposés si l’entreprise le souhaite : 
    • Les éventuelles pièces jointes décrivant l’impact environnemental de la solution
    • Les éventuelles pièces jointes décrivant l’état de développement de la solution (situation actuelle)
    • Les éventuelles pièces jointes décrivant les perspectives d’évolution et de déploiement de la solution (projection)

Dans une démarche d’utilisation ergonomique de la plateforme de dépôt de dossier et a fortiori de numérique responsable, les entreprises sont invitées à restreindre la taille des pièces jointes en restant dans la limite de 200 Mo au total (compresser les fichiers trop volumineux, réduire la qualité des images lorsque cela est possible, zipper le dossier contenant les pièces jointes, etc.).

Les fichiers vidéo ne peuvent être fournis que par lien url inséré dans un champ de réponse du formulaire de candidature ; les vidéos en pièces jointes ne sont pas acceptées. Le support de candidature renseigné et les pièces jointes doivent être fournisen format LibreOffice (odf/odt, calc…), Microsoft (Word, Excel, PowerPoint) ou Adobe (pdf).

Quels sont les critères de sélection ? 

Les solutions sont analysées selon les liens suivants non hiérarchisés :

  • Maturité de la solution
  • Adéquation de la solution avec les politiques publiques de transition écologique et leurs priorités
  • Potentiel de contribution de la solution à la transition écologique
  • Démarche d’éco-conception de la solution
  • Caractère innovant de la solution
  • Potentiel économique et de création de valeur de la solution
  • Adéquation de la solution au marché
  • Capacité de l’entreprise à développer la solution

Le contenu du dossier de candidature se veut permettre de répondre à tous ces enjeux. Aussi peut-il paraître un peu long à remplir, mais c’est le gage de la qualité du travail de sélection des jurys et de la distinction « Greentech Innovation » .

Comment s’assurer que mon projet est en adéquation avec les politiques publiques de transition écologique ? Cette liste est-elle disponible ? Comment accéder aux différentes politiques publiques ? Avec des liens officiels ? En fonction des thématiques ?

Les solutions candidates doivent relever de l’un de ces 12 secteurs-clés de la transition écologique :

  1. Alimentation et agriculture durables
  2. Bâtiment et ville durables
  3. Décarbonation de l’industrie
  4. Eau, biodiversité et biomimétisme
  5. Économie circulaire
  6. Énergies renouvelables et décarbonées
  7. Innovations maritimes et écosystèmes marins
  8. Mobilité durable
  9. Prévention des risques
  10. Santé-Environnement
  11. Numérique éco-responsable*
  12. Finance durable & RSE

* « Le secteur-clé « numérique éco-responsable » concerne les innovations qui visent à réduire l’empreinte écologique des technologies de l’information et de la communication en elles-mêmes. Les innovations qui intègrent des solutions numériques doivent se rattacher à un autre des secteurs-clés. »

Les solutions n’entrant pas dans l’un des 12 secteur-clés de la transition écologique de l’Appel à Manifestation d’Intérêt ne seront pas retenues. 

Sont particulièrement attendues les solutions relevant des priorités des politiques publiques de transition écologique listées au A.2. « Objet de l’Appel à Manifestation d’Intérêt (AMI) » dans le règlement de l’AMI : lien vers le règlement de l’AMI 2026 bientôt disponible

Cette liste n’est pas exhaustive et les projets entrant dans un des champs thématiques sans être rattachés à l’une de ces priorités sont éligibles.

Il est par ailleurs possible de trouver des compléments d’informations en ligne sur le site de chaque ministère concerné ainsi que sur d’autres plateformes gouvernementales (France Nation Verte, Plan Climat, France Mobilité, feuille de route du numérique responsable, stratégie nationale biodiversité, stratégie nationale bas carbone, feuilles de route sectorielles de décarbonation, plan national eau, plan national d’adaptation au changement climatique, etc.) et vérifier ainsi si votre solution est en accord avec les politiques publiques en matière de transition écologique.

Peut-on obtenir de l’aide pour identifier la thématique, avant le dépôt du dossier ou l’Ecolab réaffecte-t-il les projets dans les bonnes thématiques ? Peut-on choisir plusieurs thématiques lors de notre candidature ? Que se passe-t-il en cas d’erreur de sélection ?  

Les entreprises porteuses de solution candidates doivent choisir une seule et unique des 12 thématiques de transition écologique à laquelle rattacher leur solution, même si celle-ci peut sembler relever de plusieurs thématiques.

Du choix de la thématique dépend le jury qui sera en charge d’examiner le dossier de candidature. Aussi, nous demandons aux entreprise d’y prêter une attention toute particulière. Néanmoins, l’Ecolab pourra réaffecter la solution, passée la première étape de sélection, si nécessaire.

Quelles sont les attentes sur la description du potentiel environnemental de la solution ? Faut-il des chiffres à l’appui pour candidater ?

La solution doit contribuer à la bonne mise en œuvre des politiques publiques de la transition. L’évaluation de son impact environnemental est donc un élément important de la candidature.

Sont ainsi sollicités des éléments permettant d’apprécier :

  • le principal impact environnemental positif attendu de la solution, actuellement et à horizon de 3 à 5 ans
  • les impacts positifs et négatifs (dont effets rebonds éventuels) de la solution en matière d’atténuation du changement climatique, d’adaptation au changement climatique, de lutte contre les pollutions (prévention et contrôle), de gestion des ressources (notamment les ressources en eau et marines), de protection et de restauration de la biodiversité et des écosystèmes, de transition vers une économie circulaire (déchets, autres)
  • si opportun, les démarches pour l’éco-conception de la solution (choix de matières recyclées, circuit court, conception numérique frugale…)

Est-ce que la forme juridique est un critère ? Une société civile est-elle éligible ? Une association peut-elle candidater ? 

L’AMI se destinant uniquement aux entreprises start-up et PME, le statut juridique de la structure concernée est un critère d’éligibilité. Pour l’AMI France, seules sont éligibles les entreprises inscrites à un registre du commerce

Sont ainsi éligibles les entreprises s’inscrivant dans l’un des statuts suivants définis par le Ministère de l’Economie :

•          Entreprise individuelle (EI) ou entreprise individuelle à responsabilité limitée (EIRL)

•          Entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée (EURL)

•          Société à responsabilité limitée (SARL)

•          Société anonyme (SA)

•          Société par actions simplifiée (SAS) ou société par actions simplifiée unipersonnelle (SASU)

•          Société en nom collectif (SNC)

•          Société coopérative de production (Scop)

•      Société en commandite par actions (SCA) et société en commandite simple (SCS)

Les sociétés civiles ou les associations ne sont pas des structures adaptées à des activités économiques impliquant des prises de risques : en cas de défaut de paiement, les membres doivent rembourser sur leur fonds personnels les dettes contractées. Il n’y a pas de tribunal de commerce pour gérer les défauts de paiement et limiter le risque pour les personnes.

Quels sont les prérequis en terme d’actionnariat ? Peut-on être une PME détenue par une PME ? Une filiale autonome intégrée à un groupe de plus de 250 personnes, est-elle éligible ?

La définition communautaire (UE) de la PME est retenue pour l’AMI : une entreprise autonome qui occupe moins de 250 personnes et dont le chiffre d’affaires annuel n’excède pas 50 millions d’euros ou dont le total du bilan annuel n’excède pas 43 millions d’euros. Autonome : non détenue à hauteur de 25 % ou plus du capital, ou des droits de vote, par une entreprise, ou conjointement par plusieurs entreprises ne correspondant pas à la définition de la PME.

Le dossier de candidature sollicite donc les informations suivantes : répartition du capital de l’entreprise (en cas de détention par une holding ou une cascade de holdings, préciser l’actionnariat de cette dernière / ces dernières) ; nombre actuel de salariés ; numéro de SIRET…

Un groupe de PME peut-il répondre ?

Seule une PME au sens européen du terme peut répondre, elle doit répondre seule.

Faut-il être Made in France ?

Les entreprises candidates doivent être domiciliées en France ou dans un pays membre de l’Union Européenne (via l’AMI dédié). Néanmoins, l’ensemble de la production n’a pas à être réalisé en France car beaucoup d’activités ne peuvent pas l’être dans leur globalité. Toutefois, la localisation de tout ou partie de la production ou du service sur le territoire national et/ou européen est valorisée lors de l’examen des dossiers.

Ai-je une chance d’être sélectionné si je propose une solution proche d’une start-up déjà présente dans la Greentech Innovation ?

L’AMI souhaite garantir un éventail varié de solutions Greentech et donc privilégie la variété aux doublons. Pour autant, la démarche Greentech Innovation regroupe également les startup et PME par thématiques de la transition écologique ; et au sein de celles-ci, certaines solutions peuvent être complémentaires ou assez similaires. Il n’est donc pas rédhibitoire de proposer une solution assez proche d’une solution déjà présente dans l’écosystème ; l’enjeu sera de démontrer son caractère innovant et d’argumenter sur ce qu’elle peut apporter de plus.

Une solution ayant déjà été présentée au cours d’un précédent appel à manifestation d’intérêt et qui avait alors été refusée peut-elle à nouveau candidater ?

Toute entreprise n’ayant pas été lauréate lors d’un précédent appel à manifestation d’intérêt « Greentech Innovation » pour une quelconque raison et notamment la maturité de la solution (atteinte au moins du niveau Produit minimum viable) peut tout à fait candidater à nouveau. L’entreprise est invitée, dans un champ du dossier de candidature, à décrire les dimensions qu’elle a le cas échéant développées depuis la précédente candidature.

Peut-on trouver des exemples de solutions qui peuvent être lauréates ?

Les entreprises lauréates des précédents appels à manifestation d’intérêt « Greentech Innovation »  sont disponibles sur la page dédiée de notre site internet.

Cependant, les solutions sont fondamentalement différentes les uns des autres et ne préjugent en rien du succès d’une autre.

La candidature doit-elle porter sur une solution existante ou sur quelque chose qui peut être prochainement lancé ? Quel est le degré de maturité attendu ?

La solution candidate doit avoir atteint au moins le stade de « produit minimum viable » (« Minimum Viable Product » – MVP). Les solutions en phase d’idéation ne peuvent pas être sélectionnées. L’AMI requiert absolument qu’un produit minimum viable, livré et fonctionnel, soit présenté.

Une structure venant d’être créée peut-elle candidater ? Y-a-t-il un critère de chiffre d’affaires requis ? 

Les entreprises candidates peuvent être récentes ou plus anciennes. 

Ainsi, une entreprise venant d’être créée, comme une entreprise déjà installée sur le marché, peut candidater si elle est enregistrée au registre du commerce et présente une solution innovante ayant atteint le stade du produit minimum viable. Son chiffre d’affaires ne doit pas excéder les 50 millions d’euros pour répondre à la définition de PME mais il n’y a pas d’attente sur un chiffre d’affaires minimal.

Qu’entend-t-on par « produit minimum viable » ? Est-ce qu’un démonstrateur de TRL 5/6 convient ? Le « produit minimum viable » peut-il être une maquette ? 

Les solutions candidates doivent avoir atteint au moins le stade du « produit minimum viable ».

Au sens du présent AMI, un « produit minimum viable » est une version minimaliste mais livrée et fonctionnelle d’un process, produit ou service (ou leur combinaison). Il doit répondre au moins partiellement à l’ambition initiale du produit et à l’objectif théorique du produit fini. Il doit démontrer une stabilité technique, annoncer une prochaine version complétant ses failles et ajoutant de nouvelles fonctionnalités. Il doit être apte à d’être testé en situation réelle par des tests techniques et utilisateurs. Il peut, ou pas, être déjà commercialisé. La démonstration du produit minimum viable peut s’appuyer sur des critères tels que : date de déploiement de la solution, nombre de tests clients réalisés, nombre de clients utilisant la solution, retours qualité d’utilisateurs, …

Les tests réalisés et la description des retours des utilisateurs font partie des éléments à fournir dans le dossier de candidature.

L’AMI « Greentech Innovation » ne raisonne selon le référentiel TRL (Technology Readiness Level).  Si l’on devait cependant proposer une équivalence TRL, le « produit minimum viable » correspondrait à un TRL 6.

Les frontières des stades théoriques de développement d’une innovation pouvant être poreuses, et les contraintes étant différentes en fonction des secteurs, l’Ecolab et les jurys effectuent une analyse au cas par cas.

Une solution insuffisamment mature pourrait d’ailleurs ne pas pouvoir bénéficier de façon utile de l’offre de services de l’Ecolab qui accompagne les solutions lauréates. 

Les solutions prometteuses mais pas encore assez développées sont invitées à se rapprocher des incubateurs partenaires de la Greentech Innovation et/ou à candidater à nouveau lors d’un AMI ultérieur.

Doit-on obligatoirement en être au stade du « produit minimum viable » ou la solution peut-elle être déjà commercialisée ?

Le stade du « produit minimum viable » est le stade minimum requis pour être éligible. La solution peut tout à fait être déjà commercialisée. Il doit cependant s’agir d’une « innovation », ce que le dossier de candidature doit s’employer à démontrer.

Combien de lauréats sont retenus chaque année ?

La promotion 2026 de l’AMI « Greentech Innovation » devrait distinguer de 25 à 30 solutions lauréates au total sur les deux voies de candidature France et UE.

CALENDRIER PREVISIONNEL

PériodesPhase de l’AMI 2026
Du 24/11/2025 au 19/01/2026 (23h59)Dépôt des candidatures
Du 13/04/2026 au 24/04/2026 (à titre indicatif)Audition par un jury d’experts (selon secteur-clé) pour les dossiers présélectionnés
Mi-juin 2026 (à titre indicatif)Révélation de la liste des solutions lauréates

Quand se tiendront les auditions ?

Les auditions par un jury d’experts (selon secteur-clé) des entreprises dont les solutions auront été pré-sélectionnées devraient se tenir lieu en avril 2026 ; à titre indicatif du 13/04/2026 au 24/04/2026.

Combien d’entreprises passent-elles en audition ?

On compte jusqu’à 8 entreprises auditionnées par thématique ; ce chiffre varie en fonction du nombre de solutions candidates par thématique.

Si le dossier est refusé, un motif est-il donné ?

L’équipe Greentech de l’Ecolab fournit un motif de refus aux seules entreprises ayant été entendues en audition et non retenues.

Combien de candidatures et de lauréats sont reçus chaque année ?

En 2024, nous avons retenu 22 lauréats sur 159 candidatures.

Pour pouvoir réaliser un accompagnement de qualité des start-up et PME porteuses des solutions lauréates, l’équipe Greentech de l’Ecolab vise un nombre de 25 à 30 solutions lauréates.

Quelle est l’offre d’accompagnement proposée aux start-up et PME porteuses de solutions lauréates ?

L’offre d’accompagnement est présentée sur la page correspondant à l’offre d’accompagnement sur le site internet de l’Ecolab, et résumée dans le règlement de l’AMI 2026

Dans le cadre de l’initiative Greentech Innovation, les entreprises porteuses des solutions lauréates bénéficient d’un accompagnement de l’Ecolab selon l’offre suivante :

  • Booster visibilité : actualités relayées sur différents canaux (réseaux sociaux, newsletter), utilisation du logo Greentech Innovation sur leurs communications, inscription dans l’annuaire des solutions lauréates du programme, mise en visibilité lors d’évènements …
  • Booster commercial et réseaux : participation à des pitchs devant des investisseurs, rencontres d’affaires multiples (thématisées, en régions, ou générales).
  • Booster digital : mise à disposition de ressources en ligne (études de marché, base de contacts presse,…
  • Booster commande publique : accompagnement à l’accès aux marchés publics (annuaire destiné aux décideurs publics, divers outils…), formation à la commande publique (formation et webinaires).

Les entreprises ont la possibilité d’occuper des bureaux dans l’un des deux living-labs Greentech situés à Saint Mandé (94) et à Orléans (45), qui les rapprochent également de collectivités pour stimuler leur capacité d’adaptation aux attentes de la commande publique durable.

Cet AMI n’est assorti d’aucun accompagnement financier.

Les entreprises lauréates bénéficient du programme d’accompagnement de façon prioritaire pendant une durée d’un an. Elles continuent de bénéficier du programme d’accompagnement tant que leur solution respecte les critères d’éligibilité et de sélection de l’AMI « Greentech Innovation ».

Vous avez un booster « Commande publique ». L’entreprise doit-elle nécessairement candidater avec un produit qui s’adresse aux acheteurs publics ?

Non, les solutions peuvent ne pas viser la commande publique. L’aide à l’accès à la commande publique est un plus proposé aux entreprises lauréates de l’AMI, pas un critère de sélection à l’AMI.

A quelle fréquence se tient l’Appel à Manifestation d’Intérêt « Greentech Innovation » ?

L’appel à manifestation d’intérêt « Greentech Innovation » a lieu tous les ans, sensiblement aux mêmes dates.

A quoi s’engagent les entreprises dont les solutions sont lauréates ?

Les entreprises lauréates s’engagent à :

  • apposer le logo Greentech Innovation dans leurs supports de communication : site internet, kakémono, publications… (liste non exhaustive)
  • répondre aux sollicitations de l’Ecolab dans les délais indiqués dans ces sollicitations : notamment création et mise à jour annuelle de la fiche annuaire et du formulaire de suivi des entreprises porteuses des solutions lauréates
  • être présente aux évènements d’annonce de la liste des solutions lauréates (généralement en juin) (Sauf motif impérieux, justifié et annoncé au plus tôt)
  • être obligatoirement présente pour s’exposer sur un stand au Meet’Up Greentech de l’année de la sélection de leur solution lauréate (généralement en octobre) ((Sauf motif impérieux, justifié et annoncé au plus tôt)
  • tenir les engagements pris de venir aux évènements auxquels elle est invitée et qu’elle a acceptés
  • relayer autant que faire se peut la communication de l’Ecolab sur toute initiative relative au soutien de la Greentech
  • répondre aux questionnaires de satisfaction transmis
  • prévenir impérativement et au plus tôt l’Ecolab en cas de modification significative de la solution, rachat ou liquidation de l’entreprise. En cas de rachat, communiquer le nom de l’entreprise acquéreuse.

Un retrait de la distinction « Greentech Innovation » pourra être décidée unilatéralement en cas de non-respect de ces engagements.

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